En géné-ra-l,
le taichi ra-jeunit !
il ra-vigote,
il ra-vitaille l’énergie !
Nous en sommes tous ra-vis.
C’est un art ra-ffiné, pas du tout au ra-bais.
Au risque de ra-doter, et de ra-bacher,
tous les ra-ports le disent, il faut ra-lentir ;
Notre pas ne doit être ni ra-courci, ni ra-bougri, mais ra-justé.
Soyons tous ra-ssurés,
notre ra-chis ne sera plus ra-plapla .
Notre allure fera des ra-vages.
A la recherche des ra-cines,
on se prend parfois des ra-teaux,
il est tout à fait ra-rissime
d’y parvenir ra-pidement ;
les ra-meurs sont plus fréquents !
On peut toujours s’imaginer
ra-tiboisant toutes les ra-cailles, ra-clures
et ra-staquouères…
C’est ra-pé !
Car le taichi ra-doucit,
sans pour autant ra-mollir.
Il fuit le ra-ffût; il est tout en ra-ffinement.
Personnellement j’en ra-ffole.
Aux râ-leurs et leurs ra-gots
qui ra-tent le coche,
ra-contons notre ra-vissement
Faisons ra-zzia de bonne humeur !
De cela nous ne serons jamais ra-ssasiés…
Ra-ppelons nous notre bon La Fontaine dont le rat dit :
« fi du plaisir que la crainte peut corrompre » !